Avoir de la Chance

Une vidée envoyée par un ami il y a quelques temps,
je la regarde régulièrement pour ne pas oublier que la chance n’est pas dues au hasard…

Philippe Gabilliet – Professeur à ESCP Europe

Qu’en pensez vous?

Repas # 8

Utiliser des outils de mesure

Cet été j’ai beaucoup consommé d’huile d’olive, crudités oblige! Mais j’ai découvert une manière de limiter la casse.

Avant mes tomates mozzarella baignaient dans l’huile, ben oui c’est bon, et puis c’est difficile de ne pas laisser la bouteille couler, enfin bon, je n’arrivais pas à me limiter. Pas bon pour la ligne tout ça!

J’ai donc acheté des bouteilles d’huile et vinaigre en spray! Ben oui ça existe et c’est super utile. 10 Pschitt = une cuillère à café d’huile. C’est ludique, c’est propre, c’est réutilisable et ça permet de ne pas trop se servir!

Dans le même esprit, le doseur de sucre m’est bien utile!

Utilisez vous ces petites choses vous aussi?

Le principe de la double tâche

Le principe de la double tâche, mais qu’est ce?

Nous avons la possibilité d’effectuer deux actions en même temps si l’une des deux est une tâche automatique comme marcher. Cette deuxième tâche ne doit pas demander de réflexion importante sinon il est impossible d’en faire deux en même temps! Nous ne pouvons pas regarder un film et faire nos impôts en même temps!

Partant de cette idée simplissime, j’ai essayé! J’aime utiliser mon temps en ayant la sensation que cela sert quand même à quelque chose.

J’utilise la double tâche en trois occasions:

• En courant: au départ,, comme beaucoup de monde j’écoutais de la musique mais j’ai tendance à rythmer mon pas au son de la musique, ce n’est pas évident de trouver toujours le même tempo, donc je me suis mise à écouter des livres. Si les coureurs qui me croisent savaient que j’écoute Hugo ou Brontë 🙂
  Il y a de nombreux sites de livres audios gratuits, ce sont des classiques qui sont libres de droits. Je peux vous conseiller Littératureaudio.com.
  Il existe aussi des audiolivres plus récents mais à l’achat, j’en ai quelques uns, ils sont bien. Audiolib

• En repassant: je n’ai pas besoin de réfléchir pour repasser, avant je me mettais devant la télévision mais franchement je ne suis grande téléspectatrice et puis en plus on utilise le même canal sensoriel : la vue, en clair on finit par écouter la télé. Donc une nouvelle fois, j’écoute mes livres ou mes cours d’anglais. (téléchargement gratuit déjà indiqué ici)

• En conduisant: Attention, il faut conduire depuis longtemps, évitez si vous êtes jeune conducteur!!! Je conduis beaucoup, je suis en déplacement toutes les semaines pour les formations et séminaires que je donne un peu partout, et j’avoue que sur l’autoroute j’écoute mes livres ou mes cours. Cela équivaut à écouter une conversation. J’évite en ville car je me dois d’être plus vigilante!

Le principe de la double tâche
ou comment avoir l’impression de ne pas perdre son temps 🙂

Repas # 7

Utiliser de la vaisselle plus petite

En effet, mettre la même portion d’aliments dans une assiette plus petite donne l’impression de plus au cerveau.

Vous avez déjà vécu cela au restaurant, le serveur vous amène une assiette de grande taille peu remplie, vous avez la sensation qu’il n’y a rien dedans et que vous allez encore avoir faim après! Et pourtant à l’arrivée c’est bien suffisant, ce n’était qu’une impression.

Quand on utilise de grandes assiettes cela nous incite à les remplir et à consommer plus! jusqu’à 30 % de plus!

Depuis que j’ai commencé mon objectif perte de poids sans régime, j’utilise des assiettes d’une taille plus petite à celles que j’utilisais avant. Et je dois avouer que j’ai tendance à moins les remplir (sinon ça déborde!!!) et à être rassasiée. Grâce à cette petite astuce j’arrête de manger comme un ogre!

Je m’étais affolée un jour en voyant que je mangeais plus qu’un de mes amis! Un mec en plus! Là je me suis dit: tu manges trop!!!!

Encore un kilo perdu! J’avance, j’avance… et toujours en arrêt tabac!! 🙂

Gratitude

Un jour, il y a 3 ans à peu près, je faisais un footing au bord du fleuve, j’étais seule, c’était ardu, c’était avant tout un désir de m’en sortir plus qu’une pratique sportive, on ne peut pas vraiment me définir comme étant adepte du sport.
Dans ce moment de ma vie j’avais fait des mauvais choix et j’en avais récolté les fruits. A l’époque, je n’en avais pas conscience, j’ai toujours fait attention aux autres, j’ai toujours donné mais pas aux bonnes personnes, pas celles qui devaient croiser ma route (et surtout pas à moi-même).

Ce jour là donc, je cours, je suis rouge écrevisse, c’est difficile et tout à coup, un déclic. Un déclic d’une simplicité affligeante, dont je n’avais encore jamais pris conscience:
je suis vivante!

Depuis je remercie la vie chaque jour, je suis reconnaissante de ce que j’ai déjà. Et c’est ce jour là que j’ai commencé à guérir et ne plus me victimiser.

Et vous? Avez-vous déjà eu ce genre de déclic? 🙂

Accepter l’échec

Et bien oui , j’ai craqué!!! Que cela soit la cigarette, si, si, je l’ai fait, ou le chocolat, ben oui on m’en a amené (du lait et amandes caramélisées au caramel salé pfff!!!), j’ai oublié pas fait de sport aujourd’hui, ou mon anglais…

Et bien oui, l’échec, parce qu’il s’agit bien de cela fait partie intégrante du boulot! Pour changer, avancer, il faut aussi échouer. C’est dingue me direz vous, et bien non pas tant que cela! A moins d’être parfait, ce que je ne suis pas, tous nous allons craquer!

Il faut juste le savoir et s’y préparer. Pourquoi? Pour ne pas rester au sol après être tombé mais plutôt savoir se relever.
Ce que je pensais avant c’était: puisque que j’ai craqué tout est foutu, j’arrête!
Mais bien sur! Donc je suis au sol et j’y reste 😦
C’est la loi du tout ou rien.

La première chose que l’on apprend en débutant le roller c’est de tomber, étrange non? Et bien c’est le même principe.

L’échec fait partie de la réussite!

En clair on imagine la ligne noire, alors que la réalité c’est la ligne rouge mais si vous ne vous arrêtez pas au premier creux, vous pouvez remarquer que l’évolution est possible!

Ainsi, j’ai craqué mais je ne dois pas en rester là 🙂

(Ré)Apprendre l’Anglais

Bon, je vous parlais hier de mon envie de me remettre à l’anglais. C’est inscrit sur mon tableau de visualisation mais soyons honnête, ça va pas se faire tout seul, par contre ça me permet d’y penser!!

J’ai longtemps cru que je pouvais m’en passer!! Je l’ai étudié, j’ai suivi plus de 10 ans de cours et mon niveau est pathétique !!!! Bon j’avoue ne pas avoir donné beaucoup d’énergie à cet apprentissage. Aujourd’hui j’ai pris conscience que je ne peux m’en passer lors de mes voyages.

Alors je me suis inscrite dernièrement sur un site, vraiment bien fait: Anglaisfacile.com c’est un outil ludique pour tout reprendre depuis le début!!! Il y a plein d’exercices, des jeux, plusieurs niveaux et c’est gratuit!!!!!! En plus ça existe en français, en italien, en espagnol, japonais….
C’est grisant d’être applaudit quand on a fait un sans faute 🙂 ok c’était le niveau 6e mais bon il faut bien débuter!!

J’écoute aussi les cours de Thomas Carlton (Épisodes à télécharger – mp3) gratuit aussi

Donc je m’astreins à faire un petit exercice minimum par jour, et j’espère que je n’aurais plus la honte d’être reconnue comme française à l’étranger à cause de mon accent mais surtout par mon manque de connaissance!!

J’ai refait un carnet de vocabulaire (et verbes irréguliers) comme à l’époque du collège, et je révise avec un marque page pour cacher une colonne – recherche avec le mot français et ensuite j’inverse!

Tableau de visualisation

Qu’est ce qu’un tableau de visualisation ?

C’est un outil visuel tout simple à construire soi même et qui permet d’envoyer un message positif au cerveau. Sur le principe que si nous sommes positifs c’est plutôt le positif que nous allons vivre. L’inverse existe aussi, plus vous êtes négatif, plus vous allez vivre du négatif.
Ex : un problème dès le matin et vous imaginez que votre journée va être catastrophique et bien elle le sera surement!

Pour faire un tableau de visualisation, il vous faut des ciseaux, des magazines ou journaux, une grande feuille, de la colle. Découpez les images, les mots qui vous touchent, que vous voulez vivre, vos objectifs afin de les avoir sous les yeux sans arrêt.

Si vous savez utiliser l’outil informatique vous pouvez aussi le faire grâce à des logiciels tout simples comme Photofiltre ou Picasa par exemple.

Voici celui que j’ai construit, je le vois sans arrêt sur tous mes outils informatiques mais aussi en photo à la maison dans des endroits où je suis souvent (cuisine, salle de bain…).

Qu’est ce qu’il en ressort :

• Les paysages étrangers et le mot Voyager parce que j’espère repartir en Asie, je commence à envisager mon départ en 2014 d’une durée de plusieurs mois (j’espère au moins deux voire trois). Je me donne plus d’un an pour mettre un peu de coté petit à petit (parce que ça va pas venir tout seul, je me donne les moyens que cela se réalise mais sans prise de tête).
• Merci pour remercier de tout ce que j’ai déjà.
• Joie, Zen, Famille, Paix, Liberté, Nature, Santé, Communication, Sourire, Travail, Douceur, Vie, Intuition sont des notions importantes dans ma vie, ces mots me sont positifs (je sourie dès que je croise mon tableau)
• L’anglais, parce qu’il faut que je me remette à l’anglais!!! Mon niveau équivaut à un début 6^e, et pour mon voyage ce sera plus simple. Je vais le faire évoluer vers d’autres langues ensuite, mais on ne met pas la charrue avant les bœufs, l’anglais d’abord, un jour l’italien ou d’autres langues peut être…
• Sport, parce qu’il me faut être en plein forme
• Le livre et les appareils photos pour ne pas oublier de m’adonner à mes passions et leur réserver un peu de temps
• Aimer pour rencontrer un personne qui me correspond et pour être entourée d’amour au sens large (familial, amical…)

Voilà, un outil en perpétuelle évolution pour certaines envies et stable pour les bases importantes selon moi dans la vie 🙂

Repas # 6

6. Respecter les doses ! Ne prenez pas peur, je ne pèse pas mes aliments. Mais quand je me fais à manger, je ne fais pas une double dose de pâtes par exemple, il y a que les légumes qui font exception – légumes on a dit, les pommes de terre ne sont pas des légumes sinon réviser ce que sont les légumes 😉
Je disais donc respecter les doses, et les préparer. Quand je me mets à table, tout mon repas est devant moi, d’une part je n’ai plus à me lever et puis cela évite les craquages (pas de tentation par retour inopiné dans le frigo).
Par exemple, je mange un morceau de fromage (pas la moitié du camembert), et bien le morceau est prêt, coupé, dans une petite assiette. Cela évite le piège de : il me reste un peu de pain, il me reste un bout de fromage… Hum, tiens j’ai fini le fromage ! (si cela arrive j’ai deux choix : je mange mon pain qui me reste seul ou je ne le mange pas).
Au départ, quand je n’arrivais pas à me raisonner, j’ai pris des fromages en portions déjà prêtes. C’est pas très écolo, mais il faut bien commencer ! Il y a de nombreux produits avec lesquels cela fonctionne.

Repas # 5

Être intraitable!

5. Ne pas avoir de possibilités de craquer (pas de N****** (pâte à tartiner super méga connue), gâteaux apéros, barres chocolatées…). Rien qui peut me faire craquer à la maison !! Pourquoi, vous me demandez pourquoi je fais ça? Hum, un peu d’honnêteté, bon mis à part pour celles qui ont un moral d’acier (ce qui n’est toujours pas mon cas), ça devient une obsession. Pour moi ça donne à peu près ça: « juste une petite cuillère, à peine trempée dans le pot, juste j’effleure la pâte à tartiner, pour avoir le gout… » En somme, je craque !!!
Vous allez me dire, oui c’est facile pour les célibataires sans enfant ça ! HAHAHA j’y ai pensé aussi et là j’ai eu une idée: j’achète que des choses que je n’aime pas. Par exemple, j’ai des gâteaux apéros chez moi, pour les amis qui passent à l’improviste, mais ce sont que ceux qui ne me font pas envie. Chaque problème sa solution 🙂

Repas # 4

Nouvelle règle du jour 🙂

4. Quand je mange, je ne fais que manger. C’est à dire, je ne suis pas devant l’ordi, au téléphone, à regarder la télévision… Pourquoi? Et bien quand on regarde un écran, ou que l’on fait autre chose en même temps que se nourrir, notre cerveau n’assimile pas ce que nous mangeons et surtout les quantités, donc nous mangeons plus. Cela ne vous arrive pas d’avoir fini votre assiette et de vous dire déjà fini! Mais j’ai l’impression de n’avoir rien avalé (ben si toute votre assiette!!).

Repas # 3

Nouvelle règle que je m’impose:

3. Faire une liste de course, ça veut dire que j’ai réfléchi aux menus à venir, que je vais éviter de regarder plein d’articles à la recherche de ce que je pourrais bien acheter (en clair un gros risque de tentation). Et puis ça va plus vite. Et si vous l’avez oublié c’est un bon exercice de mémoire à court terme, exercice anti-Alzheimer? 🙂

Repas # 2

Bon, j’en suis encore à parler des repas, mais c’est important quand même 🙂

Je sais, que cela n’est pas facile de s’imposer des règles, mais tant que je ne fais pas les choses naturellement je dois me poser un cadre. Tant que tout le monde ne respectera pas la limitation de vitesse il y aura des radars, non? Ici c’est à moi de poser mes radars, plus on arrive à se contrôler naturellement plus c’est simple, mais je n’en suis pas encore là! Mais ça va venir!

Alors concrètement, qu’est ce que je fais?

2. Ne pas faire ses courses quand on a faim, jamais jamais!!! J’ai testé pour vous, en ne respectant pas cette règle j’ai des envies terribles, mon caddie est rempli (deux fois plus que d’habitude!) de choses très très caloriques pas du tout bonnes pour mon corps et ma santé!!

Repas # 1

Faire les choses avec plaisir!

Je suis souvent en déplacement, et entre septembre et juin j’ai tendance à prendre un grand nombre de kilos du fait de mes déplacements (10 en moyenne). Mais non, je ne suis pas une terrible gourmande, quoi que… Mais il s’agit plutôt du rythme et de la teneur des repas. En étant au restaurant midi et soir, avec des choix de menus limités (plutôt conçus pour une clientèle masculine, qui tient donc au corps et riche en crème et autres matières grasses), j’ai un choix terrible à faire: manger ou jeuner, vous connaissez mon choix.

Ayant arrêté de fumer (pour la 15e fois) au début de l’été, j’ai eu peur de ne pas perdre ces kilos pendant mes deux mois, clinique habituelle pour repartir du bon pied à la rentrée. J’ai décidé d’arrêter les régimes, de me faire plaisir en mangeant des aliments qui me faisait vraiment envie mais pas trop caloriques, mais si, il y en a.

Et bien croyez moi ou pas, mais je me suis rarement fait aussi plaisir, parce que je n’ai pas de contrainte (quelques envies de temps en temps mais sans plus, je respecte mon choix). C’est vrai que je perds moins vite mais je pense que cela plus durable (- 4kg en deux mois).

En clair, j’ai changé mais façon de concevoir un repas!

Changer, une nécessité?

Le grand truc à la mode, vouloir changer ! Changer de tête, de look, de maison, de déco… mais nous, devons-nous aussi changer ?

La nécessité de provoquer un changement en soi va se mettre en place si un besoin est ressenti.

Pourquoi aller changer quelque chose alors que tout va bien, pourquoi se donner du mal si cela n’est pas nécessaire ? Soyons honnêtes, feriez-vous des abdominaux si vous aviez déjà les tablettes de chocolat ? Pas moi !

Un travail sur soi, parce que c’est bien de ça dont il s’agit, aussi petit soit-il, reste un travail ! Un effort !

Donc être acteur de sa vie ce n’est pas pousser au changement, mais reconnaitre ce qui est nécessaire de faire évoluer afin d’éviter de souffrir. La souffrance est ici à entendre au sens large, il y a de nombreuses façons de la ressentir, pouvant aller de la gêne à l’entrave.

Décider de changer, c’est décider de vouloir aller mieux.

Au cours de mes billets sur ce blog, je vais partager avec vous mes réflexions, mes envies de changements, mes choix. Rien n’est à suivre à la lettre, je vous parle d’un ressenti. Si cela raisonne résonne en vous, faites en bon usage !